Voici les résultats du sondage anonyme que j’ai organisé autour des digital nomads francophones et autres entrepreneurs mobiles. Un grand merci à tous ceux qui ont participé, et qui m’ont transmis en toute confiance des informations parfois personnelles. 73 entrepreneurs ont répondu à l’appel. C’est un peu moins que ce qu’avait réalisé Corbet Barr aux Etats-Unis mais c’est assez pour avoir un échantillon représentatif de ce mode de vie très récent.

Après plusieurs heures de travail d’épluchage des données et de mise en forme sur cette infographie, je vous dévoile donc les statistiques que j’ai pu tirer de ce sondage, avec l’objectif d’en savoir plus sur les tendances professionnelles et géographiques des digital nomads francophones. J’étudie depuis plusieurs années sur mon blog les modes de vie des digital nomads. Avec cette étude, on va pouvoir en savoir plus, de manière chiffrées.

Résultats sondage digital nomads

Résultats du sondage sur les digital nomads francophones.

Pour partagez l’infographie à vos contacts Facebook, vous pouvez cliquer ici.

Analyse des résultats dans leur ensemble

Fournir des statistiques, c’est bien. Les commenter, c’est encore mieux. Je vous livre donc quelques commentaires sur les résultats, en prenant également en compte certaines données qui n’apparaîssent pas dans l’infographie.

Blogueur est un métier à part entière, cela ne fait plus de doute

30% des sondés sont des blogueurs, avec un revenu médian de 27.000 euros NET par an. Une petite majorité d’entre eux exerce plusieurs activités (comme c’est mon cas également), mais une partie de leur temps de travail, et de leurs revenus directs ou indirects, est consacré à l’animation d’un blog. On peut supposer que ceux qui proposent également des prestations de service utilisent leur blog pour trouver des clients.

Les nomades ont en général une entreprise plutôt solide

C’est un des points que j’aborde dans ma formation « 5 conseils pour gérer votre business depuis où bon vous semble ». On ne peut être nomade qu’une fois qu’on a une entreprise qui génère un minimum de chiffre d’affaire. Ainsi, 65% des sondés affirment avoir un revenu NET d’au moins 1600 euros par mois.

Il est plus facile de travailler avec des Français et des francophones

Seuls 21% des sondés affirment travailler avec des clients dans le monde entier. Cela doit sûrement correspondre à des activités internationales et à de la vente de produits à des publics anglophones. Moins de 5% travaillent avec les résidents des pays qu’ils visitent.

Tourisme et Web, voici les 2 principaux secteurs nomades

76% travaillent pour un de ces 2 secteurs. Beaucoup comme moi travaillent même pour les 2. Si vous n’avez pas encore choisi votre voie, ces 2 pistes sont à privilègier.

Il existe à mon avis 2 types de nomades

37% affirment qu’ils sont quasiment toujours en voyage. Ils restent plusieurs mois dans un pays et changent régulièrement. C’est notamment le cas des couples nomades. Mais la majorité a plutôt le profil d’expatrié mobile. Ils disposent d’un quartier général en France ou à l’étranger et voyagent régulièrement sur le même continent. C’est également mon cas.

La plupart des nomades ne sont pas des work-addicts

Si j’avais réalisé ce sondage sur des entrepreneurs sédentaires, le temps de travail hebdomadaire se situerait sûrement entre 45 et 50 heures. Ici, la moyenne est de 35 heures par semaine. Même s’il y a beaucoup de disparités dans les résultats, je pense que la mobilité implique qu’on doive davantage se focaliser sur l’efficacité pour avoir des résultats sans y passer trop de temps.

Leurs entreprises sont plutôt domiciliées dans leur pays principal

Les démarches administratives et juridiques sont très compliquées pour s’expatrier fiscalement. 62% des sondés ont donc leur entreprise en France, même s’ils passent plus de temps à l’étranger. Notons que certains ont franchi le pas de la délocalisation, notamment à Hong-Kong et Singappour, où les taux d’imposition sur les société sont nuls.

Les nomades aiment leur mode de vie et veulent le conserver

A la question « Dans 5 ans, pensez-vous que vous serez encore mobile (ou nomade) ? », 75% des sondés répondent « Oui ». Beaucoup de ceux qui ont répondu « Non » précisent qu’ils veulent continuer de jouir de leur mobilité, mais qu’ils veulent également avoir un vrai pied-à-terre. C’est un peu le débat entre le nomade et le semi-nomade. Ce débat n’a pour moi pas lieu d’être : chacun voyage à son rythme, à sa façon, avec son budget. Ce qui importe, c’est que les nomades soient mobiles, et ce n’est pas la quantité de pays qu’ils visitent… A chacun son nomadisme !

Pour conclure, les nomades sont de sacrés baroudeurs !

En moyenne, les nomades sondés sont mobiles depuis 3 ans. Je m’attendais à moins… Beaucoup de sondés vadrouillent depuis 4 ou 5 ans, certains depuis plus de 10 ans ! Apparement, ce mode de vie est bien durable, et tant mieux pour nous 🙂

Encore un dernier merci à tous les participants. Si j’ai le courage, je réitérerai ce sondage dans quelques années, mais de manière internationale cette fois-ci.

PS : pour plus de conseils sur l’entrepreneuriat mobile, vous pouvez vous inscrire sur mon blog en remplissant le formulaire ci-dessous :


30 commentaires ont été publié sur ce billet

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  1. Michael dit :

    Très très intéressant et très bon travail.
    Merci d’avoir pris le temps de réaliser cette étude.

    Quand on regarde le revenu moyen je me demande si certains ne font ce travail qu’à temps partiel, à côté d’une activité principale.

  2. Jérémy dit :

    Super ce sondage Kalagan ! Merci de m’avoir invité à participer ! Marrant de voir que je suis exactement le profil type du digital nomade.

    As-tu des stats sur les âges des nomades ? J’ai l’impression qu’on a pour la majorité entre 25 et 35 ans, mais je peux me tromper.

    A plus,
    Jérémy.

    • Kalagan dit :

      Dans ce sondage, je n’ai pas posé de question sur l’âge. J’aurai peut-être du… Par expérience, je dirais qu’entre 25 et 30, on vadrouille beaucoup. A partir de 30 ans, on commence à avoir un mode de vie qui s’apparente plutôt à celui de l’expatrié. Après, les profils sont variés et cela dépend de la situation de chacun. Mais je ne pense pas qu’il y ait d’âge limite : certains nomades ont 40-50 ans, voire plus.

  3. Nicolas dit :

    Bonjour,

    Infographie très intéressante, je vais la partager!!

    Nicolas.

  4. Olivier dit :

    Que veux dire Tourisme ? Qu’y a-t-il derrière ? Suis curieux. Merci

  5. Gwendoline dit :

    Ce sondage est vraiment très intéressant, merci Kalagan pour cette publication.

    Une question qui m’aurait intéressée est de savoir qui parmi ces nomades a des enfants, et qui vit avec eux (donc ce sont des enfants nomades eux aussi).
    Car à mon avis, c’est surtout au moment de la scolarisation des enfants que le nomadisme se complique… mais je peux me tromper…

    Il est assez logique de voir que les nomades travaillent moins : quel intérêt de se déplacer et de voyager si c’est pour être enfermé dans un bureau 60 heures par semaine ? Je pense que c’est un mode de vie auquel même les sédentaires, auxquels j’appartiens, devraient envisager. Comme le dit Christian Bobin « Le bout du monde et le fond du jardin contiennent la même quantité de merveilles. « … encore faut-il ne pas avoir le nez sur son écran trop longtemps dans la journée pour pouvoir s’en apercevoir.

    C’est vraiment un style de vie qui m’attire… mais qui me paraît difficile avec des enfants… Plus tard, peut-être, puisque mon travail s’y prêterait vraiment bien.

    • Kalagan dit :

      Il y a plusieurs familles qui tiennent des blogs, qui ont des activités de prestataires et qui voyagent régulièrement. ils passent en général quelques mois dans chaque pays qu’ils visitent. Forcément, s’ils ont des enfants, ils ont besoin de plus de revenus et doivent s’adapter aux périodes scolaires. Je note dans mon planning de publication de réfléchir à un article sur les familles nomades. C’est un bon sujet.

    • Fabrice dit :

      Hello Gwendoline,
      Je be pense pas que le fait d’avoir des enfants soit incompatible avec le nomadisme, bien au contraire. La scolarisation de tes enfants te préoccupe et je peux comprendre, cependant je ne pense pas que le système éducatif actuel soit fait pour aider nos enfants à réussir dans la vie mais plutôt à les conditionner à entrer dans un moule et les former à devenir un bon petit « ouvrier » qui travaillera, payera ses impôts et ses factures et gagnera suffisamment d’argent pour consommer tout ce qu’ils réussiront à leur vendre.
      Je pense que la scolarisation est une machine de guerre à conditionner et que ce qui compte c’est l’éducation de ses enfants, chose qu’ils peuvent recevoir de vous, d’un certain nombre de supports, du monde qu’ils découvriront avec vous en voyage, des personnes qu’ils rencontreront, des langues qu’ils pourront apprendre directement en la pratiquant. Bref un apprentissage bien plus effaçasse, rapide et qui leur permettra de développer les complétantes et d’acquérir les savoirs en adéquation avec leurs dons et envies. La meilleure chose que vous puissiez faire pour vos enfants c’est de suivre votre cœur, vos envies, vos rêves… N’oubliez pas que vous êtes leur modèle et en faisant cela vous deviendrez votre vrai vous, heureuse, épanouie, complète… dans la position idéale pour donner le meilleur de vous à vos enfants!

    • Gwendoline dit :

      Cher Fabrice,

      Merci de ton témoignage…
      Pour notre part, nous élevons 6 enfants, ce qui complique singulièrement les déplacements !
      Nous sommes déjà une famille hors norme et poussons nos enfants à être eux-mêmes plutôt que ce que le monde voudrait qu’ils soient… même si ce n’est pas facile tous les jours !
      Je pense que tous les systèmes éducatifs ont leurs atouts et leurs faiblesse. Pour ma part, ce que j’apprécie le plus dans le fait que les enfants aillent à l’école, c’est la multiplication des références qui s’offrent à eux. Si je leur fait l’école, je deviens leur seule référence : à la fois l’enseignante détentrice du savoir, la mère à tout faire, la conseillère, le juge… Je reste persuadée qu’il est bon pour eux de se frotter à d’autres façons de voir le monde. Même si je suis bien avec ma façon de le voir et de le concevoir, je peux imaginer d’une part qu’il n’y a pas qu’une seule vérité, et d’autre part que mes choix ne correspondent pas forcément à tous mes enfants. Je n’aime pas le sport mais je suis heureuse que l’un ou l’autre de mes enfants aient découvert la gymnastique ou la natation par d’autre biais et aient eu envie de s’inscrire. Je parle malheureusement mal l’allemand mais je suis contente que des personnes compétentes leur enseigne cette langue à l’école.
      Je les encourage juste à rester critique, à envisager que la maîtresse peut se tromper, tout comme je peux me tromper, et que même wikipédia peut se tromper !!
      Je ne sais pas de quoi l’avenir sera fait, mais pour l’instant, on reste là… et je dois avouer que nous sommes de faux sédentaires, puisque nous déménageons assez souvent et que nos enfants ont déjà vu bien du pays !

    • Anouk dit :

      Bonjour Gwendoline,

      Nous sommes une petite famille canadienne (1 seul enfant) et nous voyageons depuis des années. Avant la naissance du bébé, nous faisions déjà un peu de  »nomadisme digital » (c’était peu avant la publication du livre  »The 4 hour workweek », le phénomène commençait tranquillement à être connu en Amérique du Nord) en partant quelques mois travailler sur une île avec nos laptops.

      Au Canada, les enfants commencent l’école à 5 ans et demi, cela nous a donc donné 5 ans pour partir régulièrement pendant une période plus ou moins longue (Californie, sud de la Floride, Hawaii, etc.)

      En effet, les choses se compliquent quand l’enfant commence sa scolarité. Il faut faire des choix, et savoir ce que l’on veut vraiment. Il est important de comprendre qu’il y a plusieurs façons d’être un nomade digital. Certains n’ont aucune résidence fixe et vagabondent un peu partout constamment, mais d’autres conservent une base quelque part et partent quelques semaines ou quelques mois.

      J’ai un cousin, marié et père de famille, qui est parti 6 mois en Argentine. Il compte y retourner sous peu et inscrire sa fillette dans une école de Buenos Aires pendant quelques mois.

      Je pense que les enfants peuvent apprendre peu importe l’endroit. Il y a tellement d’options (cours à distance, homeschooling, même le unschooling pour certains). Bref, je pense qu’il ne faut pas avoir peur de sortir un peu des sentiers battus. Je pense qu’en France la société est un peu plus réfractaire aux profils atypiques, mais il y a moyen sûrement de s’organiser malgré tout et surtout d’assumer.

      En ce qui nous concerne, notre fille de 6 ans vient de passer 5 mois dans une école mexicaine. Nous sommes finalement rentrés au Québec, et elle a poursuivi sa scolarité et a pu rattraper ses matières très facilement.

      Dernier conseil: la scolarité dans les pays étrangers peu être très différente de ce que vous connaissez. Il faut garder cela en tête.

  6. Sophie dit :

    Merci Kalagan pour ces informations et le temps/énergie que tu y as mis.

    Tu indiques que blogueur est un métier à part entière, mais je ne comprends pas bien d’où viennent les revenus de ces blogueurs ? En effet, tu mets la rédaction web/marketing content ainsi que la prestation de services à part, ce qui implique que ces entrepreneurs créent des revenus directement sur leur propre blog ? Affiliation, pub, autres stratégies ? Peux-tu développer davantage ?

    Je suis également curieuse des infos que tu as sur les couples nomades. Pourras-tu faire un article là-dessus à l’occasion ?

    En tous cas, comme tu le dis, c’est en effet encourageant pour ceux qui se lancent.

    • Kalagan dit :

      Salut Sophie.

      Pour les familles mobiles, je rpévois un interview, un podcast ou une compilation de conseils.. Je verrais.
      POur les revenus tirés des blogs, la stratégie la plus payante, c’est de vendre des formations vidéos. Ensuite, cela dépend du trafic et de la notoriété du blog : affilation, partenariat sponsorisés… Dans tous les cas, je pense que les blogueurs ont souvent 2 activités, et que les revenus provenant directement de leur blog ne représentent pas la totalité.

  7. Sarah dit :

    Bonjour, merci pour cette étude comparative, cela permet d’avoir une bonne vision des métiers du nomadisme… Etant expatriée, j’ai envie de me lancer dans cette aventure. Mais quand on voit les revenus, je pense qu’il n’est pas possible de vivre dans certains pays, où le coût de la vie reste cher…

    • Kalagan dit :

      Salut Sarah.

      Je ne sais pas quels sont tes ambitions de revenus mais comparé au coût de la vie en France, la plupart des pays du monde nécessitent autant de revenus, voire moins dans beaucoup de cas. 30.000 NET par mois en revenu médian, cela me paraît correct (soit 2500 euros, impôts et charges déduites). Il faut bien spur plsuieurs années pour atteindre ce revenu d’entrepreneur, mais pas exemple, au MExique, c’est suffisant pour acheter une maison sur la plage, vivre décemment, voyager, rentrer régulièrement en France…

    • Sophie dit :

      Bonjour Sarah,

      Si tu es déjà expatriée, tu as un revenu à l’heure actuelle qui fait que les revenus seront davantage un frein pour toi à te lancer dans ce mode de vie.
      D’ailleurs, quelle est ta motivation à vouloir passer de l’expatriée à la nomade ?
      (j’ai bien mes petites idées sur la question, mais je voudrais confirmer)

      Sophie

    • Sarah dit :

      Bonjour Sophie,

      Concernant ta question : c’est surtout le statut d’entrepreneur, la mobilité, et faire ce que j’aime qui me motive (ça fait beaucoup de choses !). Le statut de salarié ne me va plus. Je voudrais être patron de moi-même, moduler mes horaires comme je veux, travailler de n’importe où, prendre des décisions, être libres de mes actes, et surtout, créer ce que j’ai envie, faire ce que j’aime… Même si je travaille comme une folle. Mais je me suis battue pour venir travailler aux USA, donc il y a bien une chose que je ne veux pas : rentrer en France (pour y vivre). C’est ce que tu t’imaginais ?

  8. Sarah dit :

    Merci pour ton retour. Oui, je comprends… Je vis en ce moment à New York City, et c’est bien plus que 50 000 € net par an qu’il faut pour vivre dans cette ville. Mais je comprends qu’il faut savoir faire des concessions. Et le nomadisme, c’est pour ne pas rester au même endroit justement 🙂
    Me concernant, j’aimerais rester encore quelques temps à New York, c’est vraiment un ville qui m’inspire énormément, et où l’on trouve un concentré d’énergie… Les idées et les projets fusent: environnement très dynamique, c’est ce qu’il me faut 🙂 Objectif : monter un business, tout en restant ici ! Ça ne va pas être facile, mais j’y crois !

  9. Cyril dit :

    Super de voir le résultat! En espérant que ça inspire d’autres à franchir le pas. A plus. Cyril

  10. Sophie dit :

    Vraiment très intéressant ce sondage ! 13% des 73 entrepreneurs qui gagnent plus de 100,000 euros par mois ? Ca fait rêver ! Ce qui est dommage, c’est que ça soit anonyme ; cela serait intéressant d’avoir au moins quelques exemples, les noms de ces blogueurs, mais aussi leur « système » ; ceux qui gagnent le plus travaillent-ils en affiliation ou en vendant leurs propres produits ?

    • Kalagan dit :

      C’est à mon avis les marketers qui gagnent le plus : stratégie email + vente de formation pour gagner de l’argent : Olivier Roland, Aurélien Amacker, Jean-Rivière… Ensuite, il y a des secteurs qui rapportent plus que d’autres, comme l’immobiler et la finance. Certains entrepreneurs du sondage ont aussi des carrières de 10 ans ou plus sur le Web. Ils sont à la tête de plusieurs projets.

      Je tenais que le sondage soit anonyme, car j’ai quand même demandé les revenus de chacun. Si ce n’avait pas été le cas, je pense qu’on aurait eu moins de réponses…

  11. Sara dit :

    Merci pour ce sondage très intéressant qui donne une bonne idée de comment fonctionnent les nomades digitals.
    J’ai hâte de découvrir ton article sur les familles nomades !

  12. Christine dit :

    Bonjour Kalagan,
    très intéressant de découvrir les résultats de ce sondage et merci de nous avoir permis d’y participer. Très beau travail !
    A bientôt
    Christine

  13. Hello Kalagan ! Chouette étude 🙂
    Petite précision cependant :  » Ainsi, 65% des sondés affirment avoir un revenu annuel NET d’au moins 1600 euros par mois. » dans ce cas c’est un revenu mensuel net :p . Là c’est étrange

    • Kalagan dit :

      Merci pour la coquille Eric.
      C’est corrigé.

      A mon tour maintenant 🙂
      J’ai essayé de m’inscrire sur Copass, et la popup m’indique un message d’erreur après la validation du formulaire (inscription classiqur par email). Bizarre…

      Je réessayerai un pue plus tard.

    • Oula ! tu m’inquiètes. En tous cas merci du feedback ! Je viens d’essayer de créer un utilisateur et je n’ai pas eu de soucis… Tu n’avais pas déjà créé un compte ? Petites questions de diagnostic du coup: tu es sur quel navigateur / système d’exploitation ? Tu as utilisé un facebook / linkedin connect ?

      Si tu peux m’envoyer une capture d’écran si ça se reproduit c’est top. En effet c’est plus génant qu’une coquille et surtout étonnant…

      Si tu préfère me répondre en perso sur mon mail, tu l’as donc n’hésite pas !

    • Kalagan dit :

      Je te réponds rapidement par email. C’est mieux.

  14. Michaël dit :

    Salut Kalagan!

    Bravo pour ton blog, son contenu est riche. On n’a pas encore eu l’occasion de se croiser au hasard des routes, alors je me présente et j’en profite pour te retourner la salutation que tu m’as laissée en décembre dernier sur https://www.planet-nomad.com/fr/comment-devenir-nomade-digital/

    En réalité, je suis nomade digital depuis presque 10 ans, mais je ne m’en étais pas vraiment rendu compte. C’est en 2016 que j’ai pris conscience du mouvement nomade digital et en 2017, j’ai décidé de créer le blog Planet-Nomad avec mon partenaire d’aventure Renato. J’y partage mon quotidien de nomade digital et comme toi, j’aide les personnes à devenir nomade digital et à entreprendre en ligne.

    C’est une belle aventure et je souhaite qu’elle devienne une réalité pour ceux qui rêvent de ce mode de vie. Je pronostique que dans 5 ans, la population de nomades digitaux aura doublé. Ce succès est lié à nos besoins fondamentaux d’humain : connaître, évoluer, comprendre. Le nomadisme nous offre une nouvelle opportunité , celle de nous réaliser humainement, socialement, professsionnellement, individuellement et collectivement. D’ailleurs, ce serait intéressant de se rencontrer pour échanger à ce sujet.

    À bientôt, peut-être… sur la route bien sûr !

  15. Jonathan dit :

    Wahou Merci pour ce sondage très instructif !!!
    Tu indiques que 67% sont célibataires. Pour en avoir rencontrer un nombre incommensurable.
    Dirais-tu que la recherche d’un partenaire de vie également digital nomade est un problème où il n’y a pour l’instant pas de solution concrète ?

  16. Christine dit :

    Pourriez-vous me dire de quand date cette infographie? Merci

  17. julien dit :

    Ce sont des chiffres très impressionnants c’est le moins que l’on puisse dire. Pour certains c’est vertigineux.

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